Chronique d'en haut.
Au matin à 4200 m, Malabar file sur le macadam . La route est posée sur un océan de fétuque que les vigognes graciles broutent en toute liberté. Ces petits camélidés sont sauvages.
Mario sur sa moto stoppe près de moi et se met à causer comme si on se connaissait depuis toujours. La journée comme bien!
Nous avons été ravis de cette rencontre et contents de savoir que tu as pu échapper à la longue montée sous la pluie. On met ton blog dans nos favoris et on suivra la progression de Malabar jusqu'à La Terre de Feu. Pour ma part, je tâcherai de parsemer notre blog de quelques dessins et aquarelles si le temps me le permet.
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